[FSFLA-Traductores] boletín 1 de junio en español

Beatriz Busaniche bea en vialibre.org.ar
Jue Jun 1 13:19:50 UTC 2006


Gracias John!
lo que les voy a pedir al equipo de traductores fr.es que me pasen la
última versión marcada como tal, porque yo no hablo francés, así la
identifico de las que son preliminares o no tienen correcciones para
hacer el envió. 

Esta que está en tu mensaje es la versión última? con las correcciones
aplicadas?

Gracias!! 
Bea





El jue, 01-06-2006 a las 14:59 +0200, John Lejeune escribió:
> 
> -------------------------------------------------------------------------------------
>     Hojala que no sea demasiado tarde para la "dead line" del 1 de
> junio. He echo una (re)lectura del bueno trabajo hecho por Horacio,
> como todo bueno Frances nativo que soy.  Algunas cositas en cuento al
> futuro glossario :
> Operating System se traduce por « Système d'exploitation ». Utilisamos
> « » y no " " como el Inglés lo usa. Me parece una buena idea trabajar
> asi: Horacio y Beatriz traduciendo como lo hacen hoy y yo para la
> revista final (acentos, punctuacion, etc.) y el desarollo del
> glossario. ¿ Que les parece ?. Hasta prontissimo. 
> 
> En cuento al articulo de la revista Veja, he traducido "presentando la
> creación de empleos
> locales en reemplazo del giro de regalías al exterior en concepto de
> licencias como algo malo,..." con la idea de *utilisacion personal*
> para la palabra "empleo locales", y non con el sentido de *trabajo
> aqui*. ¿ Eso es la idea del autor, parece ? 
> 
> John Lejeune (jid: nightlybuild en jabber.rhizomes.org y por irc
> @irc.freenode.net).
> 
> -------------------------------------------------------------------------------------
> 
>      Le « L » dans LUG signifie « Logiciel Libre ».
> 
>      A l'époque où ce qui deviendra un groupe d' usagers de Logiciels
>      Libres cherchait un nom, c'est tout naturellement que surgit  «
> COLIBRI --
>      Communauté d'Usagers de Logiciels Libres en  Colombie ». Ils
> étaient conscient que ces sigles ne correspondaient pas réellement au
> nom du groupe, mais c'est probablement parce que le mot était trop
> beau qu'il ne pouvait être sacrifié au besoin d'une signification
> réelle.
> 
>      Au  moment de leur fondation, tous les groupes n'eurent pas la
> fortune
>      ou la perspicacité de COLIBRI; ils furent créés par des personnes
>      épatées par une merveilleuse découverte: des logiciels avec
> lesquels ils
>      pouvaient étudier, qu'ils pouvaient transformer à volonté,
> partager
>      avec les amis, et surtout dont ils pouvaient se servir sans
> devoir se
>      soumettre aux conditions restrictives imposées unilatéralement
> par son
>      auteur. Beaucoup d'entre eux connurent ces logiciels au moyen
> d'un système d'exploitation qui
>      ressemblait à Unix, et que beaucoup connaissaient sous le nom de
> « Linux ». Ainsi quand ils furent prêts à le
>      présenter au monde, ils le firent sous la forme d'
>       un « Linux Users Group » ( « Groupe d'Utilisateurs de Linux » ),
> ou LUG.
> 
>      C'est seulement après s'être familiarisés avec
>      la philosophie et l'histoire du Logiciel Libre que beaucoup des
> LUGs se rendirent
>      compte de l'importance du projet GNU. Quelques uns d'entre eux
>      regrettèrent leur
>      décision originale au point de changer leurs noms. D'autres
>      changèrent la signification
>      des sigles (le LUGMen, de Mendoza Argentina, est devenu « LUGMen
> Usa
>      GNU/Linux en Mendoza -- LUGMen utilise GNU/Linux à Mendoza »,
>      reflétant ainsi la récursivité de GNU). D'autres 
>      changèrent pour un nom qui ne correspondait pas à ces sigles (Le
> LUGRo
>      de Rosario Argentina est devenu
>      le « Groupe d'Utilisateurs de GNU/Linux de Rosario ». D'autres
> n'ont pas vu
>      la nécessité de se déranger à ce sujet.
> 
>      De plus en plus de LUGs commencent à se rendre compte que la
> simple utilisation
>      de « Linux » n'est pas correcte, que la mise en valeur de
> GNU/Linux n'est pas suffisante, et que
>      rien d'autre que le terme « Logiciel Libre » ne peut l'être. Ceci
> découle de trois remarques qui sont devenues inévitables:
> 
>      * les propos des LUGs sont beaucoup plus amples que celui de
> Linux, et même
>      plus que GNU/Linux. Demander de l'aide sur un système BSD dans
> une liste de diffusion d'un LUG n'est pas
>      interprété comme étant hors sujet, et l'on accepte même des
> systèmes de type Unix qui ne sont pas libres,
>      tel que l' AIX. Solaris est également hors sujet, mais
> OpenSolaris ne l'est pas. D'un point de
>      vue technique, ces systèmes d'exploitation ont tellement de
> points communs que tout cela n'a pas d'importance pour le propos du
> LUG.
>      Ceci montre clairement que c'est la liberté et non les aspects
>      techniques qui donne sa pertinence au logiciel dans le travail
> d'un LUG.
> 
>      * une grande partie du travail des LUGs est d'informer les gens
> sur
>     les logiciels libres. S'ils le font en tenant uniquement compte
> de « Linux »,
>      non seulement ils détournent leur attention des problèmes
> importants, mais en plus ils mettent en danger
>      une partie de leur travail. Comme n'importe quel autre logiciel
> libre, le noyau de Linux ne restera pas éternellement parmi nous:
>      il pourrait devenir obsolète, ou une plainte judiciaire pourrait
> aboutir
>      et nous limiter son usage. Ce serait un coup dur pour le Logiciel
> Libre, sans être cependant
>      une catastrophe: il y a d' autres noyaux libres, et Linux
> pourrait être remplacé sans trop d'efforts. Cependant, l'effet sur la
> communication auprès du grand publique serait plus important, car si
> les LUGs disent aux gens « Linux est bon
>      pour toi », et que, soudainement, Linux n'est plus là, ils
> devront refaire toute la communication.
> 
>      * le propos des LUGs n'est pas limité aux systèmes d'exploitation
> ou au
>      projet GNU.
>      Des questions à propos de l'usage des Logiciels Libres non-GNU,
> comme
>      OpenOffice.org ou Mozilla sur des systèmes d'exploitation
> propriétaires sont
>      bienvenues, et les LUGs aident souvent les gens à s'orienter
> parmis les Logiciels Libres en installant ces logiciels sur le
>      système d'exploitation que les usagers ont déjà installés sur
> leurs machines.
>      Les LUGs d'Amérique Latine commencent à s'apercevoir de ce fait
> et
>      changent leurs noms et leurs façons de communiquer.
> 
> 
>      FSFLA réponds à la Revue Veja (Brésil)
>      La revue Veja (Brésil) a publiée un article intitulé « La
> gratuité est
>      devenue plus chère- Le choix de Lula pour le Logiciel Libre
> retarde le
>      Pays ».
>      La FSFLA, représentée par son secrétaire, Alexande Oliva, a
> répondu à cet
>      article en soulignant quelques erreurs:
> 
>      À mon avis, critiquer les attitudes positives du gouvernement
> n'est pas
>      sage, même si l'on prétend faire de l'opposition. Par exemple,
> l'adoption des
>      Logiciels Libres a été présentée dans l'édition nº 1956
> (17/5/2006)
>      comme étendard du parti, malgré la convergence des initiatives,
> autant
>      de gauche que de droite. La recherche de la souveraineté,
> l'indépendance
>      et le développement technologique et économique du pays devraient
> être à
>      l'écart de la politique. Il ne faut donc pas se limiter à
> l'acceptation du rôle passif
>      des consommateurs de logiciel.
> 
>      C'est un fait avéré que notre initiative n'a pas eue le même
> succès que dans
>      d'autres pays.
>      Erreurs d'administration mise à part, ce sont la corruption et
> l'impunité
>      qui contribuent négativement et ouvrent la porte aux lobbies des
>      logiciels propriétaires qui poursuivent la préservation de ces
> monopoles.
>      En écoutant seulement les arguments en faveur des monopoles, en
> confondant la liberté avec la gratuité et en
>      présentant la création d'utilisations locales comme alternative à
> la tournure régalienne données par les licences comme quelque chose de
> mauvais; la revue met en jeu sa crédibilité, surtout si
>      on tient compte des tromperies publicitaires dans les médias, au
> travers
>      d' annonces et d' « épreuves  » financées par les annonceurs et
> sponsors de ces
>      mêmes revues ou journaux.
> 
>      Ci dessous quelques liens contenants plus d'informations, et qui
> réfutent plus en détails la position que la revue Veja a prise sur ce
> sujet.
> 
>      http://www.iti.br/twiki/bin/view/Main/PressRelease2006May18A
> 
> http://www.cipsga.org.br/article.php?sid=7919&mode=thread&order=0
> 
> 
> http://webinsider.uol.com.br/vernoticia.php/Veja__Lula____e_o_software_livre/id/2831
> 
> 
> http://falcon-dark.blogspot.com/2006/05/para-o-pblico-e-o-privado-sem.html
> 
> 
> http://twiki.softwarelivre.org/bin/view/Blogs/BlogPostView?post=BlogPostMarceloBranco20060518102019
> 
> 
> http://listas.softwarelivre.org/pipermail/psl-brasil/2006-May/012283.html
> 
>     Alexandre Oliva
>     Secrétaire de la Fondation pour le Logiciel Libre en Amérique
> Latine.
> 
> 
>     GPLv3
>     La Fondation pour le Logiciel Libre continue à fédérer le
> processus d'actualisation
>     et de commentaire de la licence GPL dans sa version 3. La
> troisième conférence du cycle
>     annuel de consultation publique aura lieu à Barcelone, Espagne,
> les 22 et 23 Juin.
> 
>     Pour cet événement, M. Richard M. Stallman, fondateur et Président
> de la
>     Free Software Foundation (Fondation pour le Logiciel Libre) a
> confirmé sa présence, ainsi que
>     M. Eben Mogle, Président du Software Freedom Law Center (Centre
> pour la  Législation de la Liberté des Logiciels)
>     et conseiller légal de la FSF et M. George Greve, Président de la
> FSF Europe. Pour représenter la  FSFLA,
>     M. Federico Jeinz sera là-bas et nous tiendra informé de
> l'événement pendant ces deux  jours.
> 
>     Pareillement à celle qui s'est déroulée au Brésil il y a quelques
> mois, la troisième conférence GPLv3 comptera sur des exposants experts
> venus d'Europe et du monde entiers lors des séances où ils discuteront
> de l'application internationale de la licence, des problèmes liés aux
> DRMs et patentes de logiciels, de l'adoption de la licence par des
> projets et développeurs de Logiciels Libres.
>     On peut trouver plus d'information au sujet de cet événement sur
> le site de notre organisation soeur, la FSFE, en suivant le lien
> http://fsfeurope.org/projects/gplv3/europe-gplv3-conference.
> 
> 
>     Travail en cours.
>     L'équipe de traducteurs de FSFLA est en train de traduire
> différents  documents.
>     À l'heure actuelle, on travaille à la version  Espagnole  du
> discours que Richard M. Stallman a donné à propos de
>     l'événement GPLv3, lors de la Deuxième Conférence Internationale
> qui a eu lieu à Porto Alegre, Brésil.
> 
>     Le brouillon du document peux se trouver sur notre wiki,
> disponible à l'adresse http://wiki.fsfla.org/wiki/index.php/FISL_RMS.
>     Vous êtes invité(e)s à collaborer à cette traduction, parmi
> d'autre.
>     Pour ce faire, une liste de diffusion [traductores] est
> disponible, où l'on peut réviser le travail quotidien et s'inscrire: 
>     http://www.fsfla.org/cgi-bin/mailman/listinfo/traductores.
> 
>     Quelques discussions intéressantes à propos de la législation et
> de l'utilisation des Logiciels Libres dans l'Administration Publique
> ont lieues sur la liste [legales]. Un des sujets centraux que l'on y
> discute actuellement concerne la loi sur le Logiciel Libre de Rio
> Grande do Sul et la controverse à propos de sa constitution.
>     Il existe des archives publiques et une invitation à contribuer à
> la discussion sur cette liste:
> http://www.fsfla.org/cgi-bin/mailman/listinfo/legales.
> 
> 
>     Événements
>      Fin avril, Federico Heinz est allé à Dublin, Irlande, pour
> travailler avec ses
>     collègues de notre organisation soeur la FSF Europe et ceux de la
> Irish Free Sofware Organization (IFSO - Organisation pour le Logiciel
> Libre en Irlande). Les enregistrements audio de la conférence sur le
> Logiciel Libre dans l'Éducation et l' Administration Publique peuvent
> se trouver en ligne sur le site de l'IFSO:
> http://ifso.ie/events/2006-04-29/index.html
> 
> 
>     Participation de la FSFLA au Forum Mondial de l'Éducation.
>   La FSFLA a adhérée au projet Gleducar lors de  sa présentation au
> Forum Mondial de L'Éducation, qui a eu lieu à Buenos Aires, les 4,5 et
> 6 mai. Beatris Busaniche, au nom de FSFLA, a épaulée la présentation
> de Gleaducar, effectuée par Carlos Toledo, Roman Gelbort, Franco
> Iacomella et Bibiana Bocolini. Gleducar et  la FSFLA ont présentés
> conjointement les principes du Logiciel Libre, les principales lignes
> de travail pour l'utilisation des Logiciels Libres dans les écoles.
> Gleducar a mis en relief le concept de Construction Coopérative des
> connaissances qui est la base du travail pédagogique de ce projet
> éducatif. Pour plus d'informations et pour un compte rendu du Forum
> Mondial de l Éducation, suivre le lien:
> http://wiki.gleducar.org.ar/wiki/index.php/Foro_Mundial_de_Educaci%C3%
>     B3n_2006
> 
> _______________________________________________
> Traductores mailing list
> Traductores en fsfla.org
> http://www.fsfla.org/cgi-bin/mailman/listinfo/traductores
-- 

Beatriz Busaniche       
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